Qui est Fabien Driat ?

Exploitant agricole dans l'Aube, pionnier de l'agriculture régénératrice depuis plus de 15 ans et en transition vers l'agriculture biologique depuis 2021.

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vue aérienne d'un tracteur dans un champ

Comment nous avons collaboré ?

Lorsque Fabien a rejoint le programme Soil Capital en 2021, son premier bilan carbone a révélé que ses sols étaient déjà des réservoirs de carbone, ce qui signifie que ses pratiques agricoles conduisaient à plus de stockage de carbone que d'émissions d'équivalent CO2. Son agronome Soil Capital lui a permis d'identifier des pistes d'amélioration et d'aller plus loin dans ses pratiques d'agriculture durable. 

Après la récolte 2021, son évaluation du carbone a conduit à un stockage net total de 171 t CO2 e. (0,59 CO2 e/ ha), pour une rémunération totale de 6 100 € (excluant les 20 % de certificats mis dans la réserve). 

En 2022, à l'issue de son deuxième bilan carbone, Fabien a stocké 171 tonnes de carbone, soit 0,59 tCO2 e. / ha, pour une rémunération totale de 6 100 €. 

Cette année, Fabien a reçu 9 300 € (+52%) pour un stockage net de 352 tonnes de carbone, soit 1,23 tCO2 e. / ha. 

icône culturelle
Ses principales cultures : 
Blé tendre d'hiver, tournesol, colza d'hiver, pois, pois de printemps, légumineuses fourragères, orge d'hiver, trèfle, fèves, lentilles, sarrasin.
288
Nombre d'hectares 

Des résultats régénérateurs ! 

Après 3 ans de participation à notre programme carbone, voici quelques éléments clés du système agricole de Fabien. 

€6,100
gain à la récolte 2021, 0,59 TCO2e / ha stocké
€9,300
gain à la récolte 2022, 1,23 TCO2e / ha stocké
+52%
augmentation de la compensation de l'année 1 à l'année 2

Quelles sont les pratiques régénératrices mises en place ?

Lorsqu'il a repris la gestion de la ferme familiale il y a 20 ans, Fabien a décidé d'innover rapidement en s'orientant vers l'agriculture régénératrice. Il s'est spécialisé dans le labour minimum et le semis direct, les cultures de couverture et l'implantation de cultures compagnes.

En 2021, il passe à l'agriculture biologique et capitalise aujourd'hui sur l'ensemble de ses pratiques régénératrices non seulement en minimisant ses coûts opérationnels mais aussi via le carbone stocké dans ses sols. La rémunération du carbone lui permet d'anticiper la disparition de la prime à l'agriculture biologique, qui prendra fin en 2024. 

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la substitution des intrants synthétiques par des engrais organiques 

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l'augmentation des cultures de légumineuses, qui captent naturellement l'azote de l'atmosphère

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travail minimum du sol sur l'ensemble de la rotation

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une personne tenant un monticule de terre dans ses mains

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